Qui Suis-je

Je ne sais plus quel age j’avais, probablement moins de 10 ans, dans une armoire, j’ai trouvé des livres de médecine appartenant au père de ma Grand-mère. Des livres avec des planches de dessins décrivant le corps humain.

Curieux, ces premiers indices me poussèrent à fouiller encore, et cette fois, dans le grenier, une boite en inox contenant une seringue en verre et des aiguilles, un bistouri….

Ces trouvailles, dangereuses pour un enfants, me furent bien vite reprises par mes parents.

Par la suite, toujours m’intéresser à tout, me joua bien des tours !

Au CM1 et CM2 j’ai eu des instituteurs plutôt amusés car je les mettais en valeur (d’une certaine façon) en reproduisant les expériences de physique chimie vues en classe, chez moi. Mais lorsque j’eu accès à des livres qui complétaient les cours de mes profs (à partir de la 6ème), les ennuis commencèrent… 

Imaginez, quand un prof’ fait une erreur, (ça arrive, nul n’est parfait), à part lui, ou une personne de son niveau, personne ne sait qu’il a fait cette erreur…. Sauf un gamin de sa classe, qui avait potassé le sujet uniquement par curiosité… En plus j’étais naïf, je ne pensais pas à mal lorsque je levai la main pour corriger l’erreur…… Un exemple ? j’ai eu un prof’ de physique qui confondait le sens réel et le sens conventionnel du courant électrique…

Bref, après bien des années de péripéties, de lectures (je dévorais tous les ouvrages de médecine, d’ingénierie, que je trouvais), de discutions passionnées autour de vastes sujets, sur les causes de certaines maladies, sur les forces telluriques, les magnétiseurs, la religion, les ondes de formes, je fis mon premier stage en géobiologie, et je me mis à sillonner la campagne, tantôt à la recherche d’eau, tantôt à la recherche d’endroits de haute énergie.

A la maison, ma grand-mère fabriquait toujours une pommade qui servait à panser les plaies et les brulures, une des recettes de l’arrière grand-père. Tout parti de là, de quoi est-elle composée, et pourquoi marche-t-elle si bien ? En faisant ces recherches, une chose me sauta aux yeux : la plus grande partie des molécules et principes actifs contenus dans les médicaments sont les copies synthétiques de molécules ou de combinaisons chimiques de principes actifs contenus dans des plantes… Super ! Alors nous aurions une pharmacie gratuite a portée de main ? La nature ? Pas si simple !

Un exemple : savez-vous ce que contient la queue de cerise ?

  • des flavonoïdes et des antioxydants ;
  • de la vitamine C ;
  • des nutriments essentiels comme le sel potassium ;
  • de la mélatonine, une hormone responsable de la régulation de l’humeur.

Très prisées lors des régimes minceur, les queues de cerise sont recommandées :

  • pour leurs effets diurétiques : les queues de cerises participent au fonctionnement des voies digestives, urinaires et des reins ;
  • pour leurs apports détoxifiants, les queues de cerise nettoient l’organisme des toxines tout en facilitant l’élimination de la rétention d’eau, notamment au niveau de l’abdomen ;
  • car elles participent à réduire la cellulite ou l’aspect peau d’orange dans le cadre d’un régime alimentaire combiné à la pratique régulière d’un sport ;
  • pour soulager certaines douleurs liées à des maladies comme l’arthrite grâce à leur effet anti-inflammatoire.

Bon et après avoir lu tout ça, on en fait quoi ? On en parle a un professionnel de santé, car il peut y avoir des effets secondaires :

Déjà, notez l’effet laxatif que peuvent avoir les queues de cerises consommées en trop grandes quantités. Pour ne pas s’en trouver incommodé, suivez toujours les doses prescrites (qui sont de 2 à 3 tasses d’infusion par jour, ou indiquées sur votre boîte de gélules si c’est la forme que vous avez choisi pour votre cure).

La cure de queue de cerises n’est pas conseillée aux femmes enceintes ou qui allaitent. Aucune étude n’a encore démontré la présence d’effets négatifs sur le fœtus ou le jeune enfant, mais il vaut mieux ne pas commencer sa cure pendant ces moments, au moins par précaution.

Les queues de cerises ne sont aussi pas compatibles avec la prise de médicaments anticoagulants.

Si vous avez des calculs rénaux, il n’est pas conseillé de consommer des queues. Même si un de leurs effets pourrait être au contraire d’aider à les prévenir, le risque peut aussi être de les faire descendre et d’ainsi provoquer des blocages. Dans le doute, mieux vaut s’abstenir et toujours demander conseil à son médecin.

 

A la suite de cette découverte ; la nature est une pharmacie, j’orientais mes lectures vers la phytothérapie et commençais une formation qui continue aujourd’hui, car oui, je suis en formation permanente tellement la nature est riche, et tellement l’organisme humain, l’Humain dans sa complétude est merveilleux et surprenant.